13Pourrait etre decede 29 juillet 1640 a St-Aubin de Tourouvre, Normandie

Décédé entre le 16-12-1630 et le 10-11-1633 La Ventouze

N'est pas venu au Canada

Laboureur à LaGaignonnière, paroisse St-Aubin de Tourouvre, puis à la Ventrouze, canton Tourouvre, Mortagne Orne France

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né le 28 octobre 1581, Tourouvre, Mortagne Perche (Orne) France. Il s'est marié en 1597, La Ventrouze, Mortagne, Perche, France
J'ai reçu ces information de Mme Lorraine Loiseau , fille de Cyrille Loiseau et Yvonne Lorentz. Elle est décédée et a laissé son travail de généalogie à son fils Daniel Burgess
Elle s'est rendue en France souvent dans le but de recolter ces renseignements. (P. St-Pierre)


13Biographie Gagnon Pierre

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TROIS FRERES GAGNON PERCHERONS
VENUS AU CANADA
PLAQUE COMMEMORATIVE
AU CHATEAU-RICHER

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     Les trois freres Gnagnon,Mathurin,Jean et Pierre,qui en 1635 vinrent au Canada, étaient originaires de tourouvre,dans l'ancienne province française du perche. Ces trois freres s'entendaient à merveille,et on les trouve réunis dans toutes les transactions qu'ils firent. "Les freres Gagnon" ou "Les Sieurs Mathurin,Jehan et Pierre Gagnon",comme on les appelait,achetaient,construisaient et vendaient toujours ensemble. Ils formaient somme toute une véritable société familiale.

Après avoir pendant quelque temps habité Québec, où ils s'étaient fait construire une maison dans la Basse-Ville, les trois freres Gagnon allèrent s'établir sur la côte de Beaupré, dans cette partie qui devait former plus tard la paroisse du Chateau-Richer.

Ce fut Jean qui se maria le premier. Le 29 juillet 1640,il épouse Marguerite Cochon. Cet exemple entraîna son frère Pierre, qui deux ans plus tard, la 14 septembre 1642, épousait Marguerite Desvarieux.

Bien qu'étant l'aîné, Mathurin fut plus long à se décider. Ce n'est qu'en 1647 qu'il renonça à sa vie de vieux garçon (il avait quarante et un ans), en épousant une toute jeune fille de treize ans,Françoise Boudeau.

Ces mariages respectifs ne devaient pas s'éparer les trois freres Gagnon. Leurs fermes étaient voisines l'une de l'autre, et les contacts entre les "trois inséparables" étaient tréquents.

Des trois freres, Mathurin sans aucun doute fut le plus entreprenant, et celui qui réussit le mieux. Il possédait en effet un commerce actif à Québec, pour lequel il dut même en 1642 faire un voyage d'affaire en France.Il fut enfin un des premiers marguilliers élus de la paroisse du Chateau-Richer.

Les freres Gagnon ont laissé une descendance remarquablement nombreuse. Il est vrai qu'ils eurent respectivement tous les trois des familles importantes. Mathurin, bien que s'étant marié sur le tard, eut jusqu'à quinze enfants.Il avait soixante et onze ans lors de la naissance de son dernier, Joseph.Pierre éleva une famille de dix, et Jean, plus modeste, estima avoir fait son devoir après en avoir eu huit. Celà représentait tout de même au total trente-trois petits Gagnon.

En 1940, une plaquette fut érigée au Chateau-Richer pour commémorer le tricentenaire de l'arrivée des trois freres  Jean,Pierre et Mathurin Gagnon.

SRC: Richard Guibault-Villeneuve
(texte qui provient des Archives nationales de Montréal)

13Décédée entre le 10-11-1633 et 29-7-1640 à Beaupré

elle se nommerait Renée-Madeleine VOYER-ROYER-ROGER.
Elle pourrait être décédée le 3 septembre 1647

Arrivée avant 1640 en Nouvelle-France avec ses enfants Mathurin, Jean et Pierre