Arbre Généalogique Guertin Rondeau Family Tree - Person Sheet
Arbre Généalogique Guertin Rondeau Family Tree - Person Sheet
Spouses
Birthabt 1622, La Rochelle, France
Deathaft 1680, Lieu Indeterminé Au Québec, Canada13
ReligionCalviniste/ Hugenot
FlagsReligieux
FatherDaniel Ramage
MotherEsther Dentelle
Marriage22 Mar 1639, La Rochelle, France2
ChildrenCharlotte (1655-1736)
Notes for Élie Godin
13Couple de Calviniste mariés en France et immigre au Canada avec 2 de leurs enfants qui ont été baptisés au temple Calviniste. Ils passent en Nouvelle-France en 1652 ou 1653. Le mari et la femme sont confirmés à la même date.
Confirmé le 2-2-1660 Chateau-Richer
Il est enterré au vieux cimetière de Ste-Anne de Beaupré
Confirmé le 2-2-1660 Chateau-Richer
Il est enterré au vieux cimetière de Ste-Anne de Beaupré
Notes for Esther (Spouse 1)
UN MIRACLE À SAINTE-ANNE-de-BEAUPRÉ
« En l'année 1662. Marie Esther Ramage, agée de 45 ans, femme d'Elie Godin, de la Paroisse de Sainte-Anne du petit Cap, estant demeurée depuis dix huit mois, toute courbée, en sorte qu'elle pouvoit aucunement se redresser, et qu'elle estoit obligée de se traisner comme elle pouvoit avec son baston, sans esperance de pouvoir jamais recouvrer par les remedes humains sa santé; (...) Alors elle reclama la Sainte, la priant de faire sur elle un miracle comme elle avoit fait sur cet homme; à mesme temps, s'oubliant de son baston qui disparut, elle se trouva sur ses pieds toute droite, marchant avec autant de facilité qu'elle eut jamais fait; (...). Ce miracle a beaucoup servi à confirmer dans la foy toute cette famille qui avoit longtemps vescu dans la religion pretendue reformée. » François Le Mercier, Relations des Jésuites, 1667
Source: Musée de la Neufvre-France sur Facebook
« En l'année 1662. Marie Esther Ramage, agée de 45 ans, femme d'Elie Godin, de la Paroisse de Sainte-Anne du petit Cap, estant demeurée depuis dix huit mois, toute courbée, en sorte qu'elle pouvoit aucunement se redresser, et qu'elle estoit obligée de se traisner comme elle pouvoit avec son baston, sans esperance de pouvoir jamais recouvrer par les remedes humains sa santé; (...) Alors elle reclama la Sainte, la priant de faire sur elle un miracle comme elle avoit fait sur cet homme; à mesme temps, s'oubliant de son baston qui disparut, elle se trouva sur ses pieds toute droite, marchant avec autant de facilité qu'elle eut jamais fait; (...). Ce miracle a beaucoup servi à confirmer dans la foy toute cette famille qui avoit longtemps vescu dans la religion pretendue reformée. » François Le Mercier, Relations des Jésuites, 1667
Source: Musée de la Neufvre-France sur Facebook